Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

COMMISSARIAT DE POLICE

Lionel : Je comprend pas que tu viennes travailler.

Sylvain : J'en ai besoin.

Lionel : Tu as surtout besoin de te reposer.

Sylvain : l'enterrement est demain, aujourd'hui je suis libre.

Lionel : Tu es bien courageux.

Sylvain : Ca va pas la ramener de ne pas travailler.

Lionel : Elisabeth le vit comment?

Sylvain : Elisabeth est en voyage à l'étranger, impossible de la joindre.

Lionel : Donc elle sait pas que sa fille est décédée.

Sylvain : Non et crois moi c'est le cadet de mes soucis.

Lionel : Je comprend.

Sylvain : Véronique est venue me voir, m'apporter son soutien.

Lionel : Comme quoi elle tient encore à toi.

Sylvain : Moi aussi mais la je n'ai pas la tête à ça.

Lionel : Je suis la pour toi même si on a eu des moments de tension.

Sylvain : Je sais, c'est du passé, t'inquiète pas.

 

APPARTEMENT DES ROLLET

Mattéo : Tu as pas été voir la police finalement?

Alexandra : J'y réfléchi encore.

Mattéo : Maman, malgré mes envies de vengeance, je n'ai pas tué cette fille.

Alexandra : Tu me le jure?

Mattéo : Oui.

Alexandra : Mais tu vas pas bien, vas voir un psy.

Mattéo : Comme Ambre? Non merci.

Alexandra : Je ne sais plus comment m'y prendre avec toi.

Mattéo : Commence par me lâcher, ce sera bien.

Alexandra : Je suis ta mère.

Mattéo : Trouve toi un mec, tiens.

Alexandra : Je ne te répond même pas.

Mattéo : Je pense que ça te ferait du bien.

Alexandra : A l'avenir, ne pense pas à ma place, merci.

Mattéo : Oh oh, susceptible la maman :)

 

PARC DE L'ORANGERIE

Agnès : Pourquoi tu voulais me voir?

Elisabeth : Je suis rentrée plus tôt de voyage mais ça doit resté secret encore.

Agnès : Je suis très peiné pour ta fille.

Elisabeth : Merci.

Agnès : Si je peux faire quoi que ce soit.

Elisabeth : Ton mari cherchait à racheter un bar je crois?

Agnès : Elle vient de mourir et tu penses qu'a ça?

Elisabeth : Le buisines toujours et encore.

Agnès : On verra, je lui en parlerais.

Elisabeth : En plus, c'est ta fille qui était son associée donc un moyen de te rapprocher.

Agnès : J'admire comment tu gères la situation.

Elisabeth : Même mieux que tu le crois.

Agnès : Comment ça?

Elisabeth : Disons que je ne suis pas étrangère à la mort d'Audrey...

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :